L’éducation émotionnelle figure depuis 2015 dans les directives de l’éducation nationale. Si le principe paraît bénéfique, les méthodes et objectifs restent souvent flous.
177 articles publiés par Béatrice Kammerer
L’éducation émotionnelle figure depuis 2015 dans les directives de l’éducation nationale. Si le principe paraît bénéfique, les méthodes et objectifs restent souvent flous.
Dys, hyperactifs, hauts potentiels… les enfants au profil « atypique » sont souvent en peine avec les méthodes traditionnelles à l’école. Pour les aider, les pédagogues et rééducateurs font appel aux cartes mentales.
Tenir son nourrisson dans les bras, lui rendre ses premiers sourires, accompagner ses progrès jusqu’à le voir devenir adulte, telles sont les joies du quotidien parental et la face brillante d’une médaille qui apporte aussi son lot d’inquiétudes, d’épuisement, et de sentiment de ne pas être à la hauteur. Les injonctions éducatives contemporaines ont-elles eu raison de l’idéal d’une parentalité épanouissante ou celui-ci pourrait-il n’avoir jamais été qu’un mythe ?
Langage texto, néologismes, émojis : ces nouvelles pratiques mettent-elles vraiment la langue en danger ou témoignent-elles de sa vitalité ?
Si l’origine neurobiologique des troubles dys est bien établie, le rôle des facteurs sociaux et des inégalités dans les trajectoires individuelles reste mal connu.
Si ces tristes sires sont partout, c’est souvent en famille qu’ils sont les plus difficiles à supporter. Et en plus, nous nous reprochons de mal les aimer !
Des premières complicités de la crèche aux meilleurs amis avec qui on fête son baccalauréat, les copains apparaissent comme des acteurs indispensables à la construction sociale et émotionnelle des enfants et adolescents.
Proclamée dans de nombreux pays, la continuité éducative a recouvert des réalités variées. Petit tour d’horizon en francophonie.
Si l’objectif d’intégrer des enfants autistes à l’école n’est pas remis en question, les méthodes et dispositifs créés depuis quinze ans ne sont pas toujours adaptés à la spécificité de l’autisme.
Cette figure de la gastronomie française n’a rien oublié de sa scolarité tourmentée.
Le collège St-John-Perse, en Guadeloupe, a été labellisé « École du bonheur », un label décerné pour cinq ans par le laboratoire Bonheurs de l’université de Cergy-Pontoise. Quelles sont ses spécificités ?
Réconcilier les jeunes avec l’école, tel est l’objectif d’un microlycée de l’agglomération de Reims.
Séduisant pour les parents, motivant pour les enseignants, le bien-être à l’école s’est imposé, depuis quelques années en France, comme un nouvel axe prioritaire. Il n’en reste pas moins un concept flou, difficile à évaluer.
Indissociable du projet de l’école républicaine, la formation de l’esprit critique n’a cessé de s’adapter aux défis de son temps. Elle apparaît aujourd’hui comme un rempart contre certains maux de notre société, telles les rumeurs et les théories conspirationnistes.
Depuis vingt ans, la France fait de la lutte contre le décrochage scolaire une priorité de sa politique éducative. Cependant, environ 80 000 élèves sortent encore de l’école chaque année sans diplôme, ce qui limite leurs possibilités d’insertion professionnelle. Pourquoi ? Peut-on remédier à cette situation ?
Un enfant qui rejette l’un de ses parents, prenant parti pour l’autre dans un contexte de divorce... Une situation désignée sous le nom de syndrome d’aliénation parentale (SAP). Celui-ci divise néanmoins les scientifiques, mais aussi les juristes et militants.