Le monde en 2050

Pour envisager des futurs souhaitables, il faut faire dialoguer géopolitique, économie, philosophie, sciences de la société, de l’environnement et des technologies.

Le projet Red Team embarque la science-fiction pour nourrir la prospective militaire française.

Contre ceux qui prophétisent la fin de la mondialisation, l’économiste Pierre-Noël Giraud estime que la globalisation va continuer malgré des soubresauts géopolitiques de plus en plus nombreux.

Alors que la surconsommation épuise la planète, miser sur les bonnes volontés individuelles ne suffira pas, estime Thierry Ripoll. La solution devra être collective et politique.

Le principe d’égalité entre les sexes s’est affirmé dans nos démocraties, mais cette évolution est menacée dans les années à venir par les guerres identitaires, le désastre écologique et les inégalités économiques.

À en croire certains experts, la Sibérie aurait le potentiel de nourrir le monde alors qu’il se réchauffe… Est-ce si simple ?

Le sixième rapport du Giec est composé de trois volets, qui rassemblent l’état de nos connaissances scientifiques concernant les changements climatiques observés sur notre planète.

Selon l’historien Franck Damour, ne compter que sur la technique pour résoudre nos problèmes nous mène à la catastrophe. Il invite à remettre du sens dans nos rapports aux technologies.

Alors que l’humanité atteint les limites de la planète Terre, il reste aux États et aux firmes deux possibilités d’expansion : les cieux et les grands fonds marins.

Ingénieurs, architectes ou encore urbanistes imaginent des solutions pour faire face au réchauffement climatique en milieu urbain.

Les techniques industrielles, l’intelligence artificielle et les robots semblent menacer tout à la fois le travail, l’humanité et la planète. La situation est critique, mais peut-être pas désespérée.