Les fictions, qu'elles soient réalistes ou nous plongent dans les mondes merveilleux, sont l'expression d'une aptitude fondamentale des humains à créer des mondes imaginaires. Elles font des humains des « configurateurs de monde », toujours prompts à inventer et à être séduits par de nouvelles histoires.
Dossier
Les mondes de la fiction
Les articles du dossier
24 juillet 2006
25 juillet 2006
Aux frontières de la fiction
« Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existé est purement fortuite » : et si cet avertissement ne servait pas à démarquer fiction et récit véridique ? Lorsque l'histoire est construite de toutes pièces et que la littérature s'en tient à des récits documentaires, peut-on aisément distinguer le réel de la fiction ?
25 juillet 2006
L'exploration des possibles
Les fictions nous divertissent, mais nous les aimons aussi parce qu'elles éclairent notre compréhension du monde. Mais comment peuvent-elles informer notre expérience si elles sont imaginaires ? Renvoient-elles à autant de mondes possibles ? Telles sont les questions qui interrogent aujourd'hui encore les philosophes soucieux de déterminer leur lien avec la réalité.
25 juillet 2006
Les lois du merveilleux
La création de fictions, imaginaires - mythes et légendes, littérature merveilleuse - ou réalistes - romans ou films contemporains -, est une des caractéristiques des humains. L'invention de « mondes possibles » ne leur sert pas uniquement à se distraire, mais aussi à explorer le réel, à inventer et à préparer l'avenir.
25 juillet 2006
Voyage en des lieux qui n'existent pas
Des Terres du Milieu à la planète d'Arrakis, de la principauté de Hutt-River à l'île de Melniboné..., la liste des États, pays ou mondes perdus, oniriques ou fantasmés est aussi infinie que l'imagination humaine. Promenade dans un univers hybride, entre littérature de fiction, jeux de rôle et sciences humaines.
25 juillet 2006
Pourquoi sommes-nous si menteurs ?
Les mensonges sont des fictions utiles. C'est la chose la plus courante qui soit et une condition même de la vie en société. C'est la volonté absolue de dire la vérité qui serait dangereuse et suspecte. Comme le disait George Bernard Shaw : « Il est dangereux d'être sincère, à moins d'être également stupide. »