De plus en plus d’adultes retournent chaque année sur les bancs de l’université. Mais comment garder la niaque quand on doit tout concilier ?
De plus en plus d’adultes retournent chaque année sur les bancs de l’université. Mais comment garder la niaque quand on doit tout concilier ?
Allongement de la jeunesse, recul de la vieillesse… Une grande confusion s’est instaurée dans l’ordonnancement des âges.
Deux figures antithétiques dominent la pensée : d’un côté, l’individu fort, rationnel, performant, heureux ; de l’autre, le sujet faible, vulnérable, victime, minoritaire. Elles révèlent notre difficulté contemporaine à penser la vie adulte.
Comment organiser une formation qui nécessite à la fois un haut niveau de connaissances générales et de solides compétences professionnelles ? La pédagogie pour adultes déploie tout un arsenal de techniques bien spécifiques.
Pinocchio, Peter Pan…, la conception de l’enfance incarnée par les héros de la littérature de jeunesse témoigne souvent de l’esprit du temps. C’est peut-être par sa rupture avec l’ère de l’enfant roi que l’on peut expliquer le succès de la saga Harry Potter.
« Quand je serai grand, je serai Spiderman », dit le petit garçon. « Quand je serai grande, je serai écrivain », affirme la jeune collègienne. Que garde-t-on de ses rêves d’enfant à l’âge où l’on construit son projet professionnel ?
Leurs parents partaient élever des chèvres dans le Larzac. Les cadres d’aujourd’hui quittent leur entreprise pour ouvrir des maisons d’hôte. Crise de l’âge adulte ou choix rationnel ?