Les collapsologues mobilisent la peur pour préparer à une catastrophe qu’ils jugent inéluctable. Leurs adversaires les accusent de dépolitiser le débat.
Les collapsologues mobilisent la peur pour préparer à une catastrophe qu’ils jugent inéluctable. Leurs adversaires les accusent de dépolitiser le débat.
Les adeptes du « survivalisme » se préparent pour résister à un effondrement de nos sociétés. Entraînement physique, mental, technique… Ils espèrent ainsi se réserver une place de choix dans « le monde d’après ».
Vivre dans les bois avec le minimum, s’orienter sans GPS, apprendre à faire du feu… Si cela peut s’apparenter à un divertissement, pour les survivalistes rien de plus sérieux. Il s’agit d’une préparation à un futur apocalyptique.
Daesh offre un imaginaire apocalyptique, où des chevaliers héroïques se dirigent vers le combat de la fin des temps. Ce scénario agit comme un puissant levier de recrutement et de mobilisation pour le jihad.
Qu’y a-t-il de commun entre les apocalypses bibliques et l’annonce des catastrophes climatiques à venir ? Souvent, l’idée qu’une révolution des mœurs et des esprits pourrait nous en sauver.