Le sociologue des croyances a traversé une période fanatique dans sa jeunesse. Dans un récit étonnant, il raconte cette expérience exaltée qui a contribué à faire de lui le rationaliste qu'il est aujourd’hui.
Le sociologue des croyances a traversé une période fanatique dans sa jeunesse. Dans un récit étonnant, il raconte cette expérience exaltée qui a contribué à faire de lui le rationaliste qu'il est aujourd’hui.
Sur Internet, comment s’orienter dans un océan d’informations sans hiérarchie et sans contrôle ? En développant plus spécifiquement le sens critique à l’école.
La sociologie française est-elle trop militante pour être sérieuse ? Paru en septembre, le livre accusateur de Gérald Bronner et Étienne Géhin a fait grincer quelques dents. Mais l’affaire pourrait bien n’être que l’avatar d’une querelle aussi ancienne que la sociologie elle-même.
Selon Gerald Bronner et Etienne Géhin, faire de la sociologie un "sport de combat" sape la confiance qu'on peut lui accorder, et met la discipline en danger d'être marginalisée. Ils plaident pour une méthode compréhensive et analytique, qui explique les faits sociaux par les actions individuelles dont ils résultent. Un livre accusateur qui fait polémique.
Peut-on être fanatique et rationnel ? Plusieurs livres récents répondent par l’affirmative. Ils exposent la dynamique de groupe et les motivations qui enclenchent la mécanique extrémiste.
Pour le sociologue Gérald Bronner, Internet donne une visibilité accrue aux croyances les plus radicales. Celles-ci sont facilement acceptées par le grand public car elles flattent les pentes les plus naturelles de notre esprit.