Né il y a deux mille six cents ans, le sage chinois a profondément façonné la mentalité de son pays et de l’Asie. Il connaît aujourd’hui un retour en grâce ambigu à Pékin.
Né il y a deux mille six cents ans, le sage chinois a profondément façonné la mentalité de son pays et de l’Asie. Il connaît aujourd’hui un retour en grâce ambigu à Pékin.
Contrairement à l’écriture occidentale, l’idéographie chinoise ne transforme pas les sons en signes. Elle transcrit les idées.
Élaborée il y a 2 500 ans, la pensée de Confucius est présentée aujourd’hui comme l’incarnation idéologique d’une Chine éternelle. Histoire d’un contresens.
Au moment où la philosophie grecque prend son essor, un phénomène similaire se produit en Asie. Les « sages » en Grèce trouvent un équivalent en Inde et en Chine : Confucius, Lao Tseu et Siddhartha (dit le Bouddha). Ils vont fonder les trois principales spiritualités asiatiques : le confucianisme, le taoïsme et le bouddhisme.
L’un des objectifs des religions est de mener leurs adeptes au bonheur. Panorama de celles qui tiennent le mieux cette promesse ?