Comment ces meurtres ont-ils été perçus et traités dans l’histoire ? Dans sa thèse, la politiste lève le voile sur un phénomène longtemps occulté.
Comment ces meurtres ont-ils été perçus et traités dans l’histoire ? Dans sa thèse, la politiste lève le voile sur un phénomène longtemps occulté.
Cette sociologue, spécialiste du monde carcéral, milite pour l’abolition de la police. Une idée qui fait son chemin, tant aux états-Unis qu’en Europe .
La société française est-elle engagée, comme l’a affirmé Emmanuel Macron, dans un « processus de décivilisation » ? L’analyse chiffrée des agressions montre une certaine stabilité des faits de violence, avec des écarts selon les types d’agressions et les zones géographiques. Cette information, complexe, est indispensable pour penser l’évolution de la société, le rôle de l’État et sortir du piège idéologique.
Jean-François Heintzen, dit « Maxou », est passé de l’enseignement des maths à la recherche en histoire criminelle. Musicien chevronné, il ne se contente d’ailleurs pas d’étudier les crimes d’antan ; il les chante. Faux, de préférence.
Les génocides et massacres émaillent l’histoire du 20e siècle. Quand et pourquoi leurs acteurs consentent-ils à devenir des tueurs sans merci ?
Pourrait-on se passer des prisons ? C’est ce que soutiennent des militants de l’abolition de la prison, voire du système pénal. En plus d’être inefficace, la prison serait une violence d’état indigne des sociétés capitalistes contemporaines.
Alternative à la prison, le bracelet électronique permet de surveiller un condamné sans l’enfermer. Les contraintes sont différentes, mais plus pesantes et intrusives qu’on l’imagine.
Comment expliquer le déclin de la criminalité constaté depuis quinze ans dans beaucoup de grands pays occidentaux ? Les spécialistes émettent plusieurs hypothèses.
Massacrer le plus d’innocents possible avant d’être abattu : depuis trente ans, 120 tueurs s’en sont pris à des foules anonymes. Mais qui sont-ils ?
Ils sont en danger, et surtout dangereux : d’abord affaire de sociologues, les délinquants juvéniles ont ensuite intéressé les médecins. Qui les ont classés, mais parfois plus pour les repérer que pour les soigner…
Comment mettre en place un travail thérapeutique qui se tienne à distance de la condamnation et de la complaisance ?
Est-on dangereux à vie ? Un détenu à risque qui a purgé sa peine doit-il rester en prison ? Ces questions font polémique quant à la loi sur la rétention de sûreté.
Le crime passionnel bénéficie souvent d’une sorte d’indulgence, comme si l’amour fou pouvait l’excuser. Derrière ce stéréotype romantique se cachent des violences conjugales tristement ordinaires.
Parfois controversés, les experts psychiatres et psychologues ont pour mission d’éclairer la justice sur la personnalité d’un accusé. Qui sont-ils ? Comment travaillent-ils ? Quel est leur poids dans la décision du juge ?