Démographie

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Depuis 1990, les migrations internationales ont beaucoup évolué, tant dans leur réalité que dans les instruments de connaissance qu’on leur applique. Hier marginalisée, cette question est aujourd’hui incontournable.

Maîtriser la fécondité, promouvoir la santé maternelle et encourager l’émancipation des femmes dans les pays en développement. Ce n’est qu’à partir de 1994 que ces principes se sont véritablement diffusés dans le monde, après trente ans de débats.

Pendant des années, la théorie de la transition démographique a expliqué l’accroissement de la population mondiale. Aujourd’hui, des experts contestent son caractère global. Leurs analyses désamorcent l’idée d’une bombe au bord de l’implosion.

Les réactions suscitées par l’épidémie d’Ebola le montrent : 
l’Afrique effraie autant qu’elle fascine, 
comme si elle méritait un traitement à part dans la mondialisation.

Le moment où l’humanité a cessé de subir la nature pour la domestiquer représente une période charnière de notre histoire.

Une part significative de la population mondiale s’extirpe 
de la pauvreté. Ces classes moyennes émergentes sont appelées à jouer un rôle de plus en plus important.

La croissance démographique n’est pas forcément une cause majeure de problèmes écologiques. Sauf quand elle se conjugue 
à la croissance économique…

Leurs synergies et leurs intérêts communs amènent la Chine, l’Inde et l’Afrique à bâtir une forte dynamique d’ensemble. 
La Chindiafrique sera-t-elle l’axe du monde ?

Les migrations connaissent 
un essor sans précédent. 
Du parcours de millions d’individus, de leur réussite 
ou de leur échec, dépend 
le devenir de certains pays.