Alcool, cigarettes, drogues… mais aussi écrans, jeux, sexe, achats, travail. Peut-on vraiment être accro à tout et n’importe quoi ? Les nouvelles addictions comportementales sont-elles en train de remplacer les dépendances d’antan ?
Alcool, cigarettes, drogues… mais aussi écrans, jeux, sexe, achats, travail. Peut-on vraiment être accro à tout et n’importe quoi ? Les nouvelles addictions comportementales sont-elles en train de remplacer les dépendances d’antan ?
Que ce soit dans la sphère privée ou professionnelle, la plupart des activités de soin et d’aide sont exercées par des femmes. Le féminisme du care s’est déployé dès les années 1980 pour faire reconnaître ce travail invisible.
L’emprise est un phénomène complexe et déroutant. La réduire à l’affrontement entre deux subjectivités, un bourreau et sa victime, revient à méconnaître sa dimension systémique, de même que la variété des formes qu’elle peut revêtir.
La dépendance au travail a des causes à la fois organisationnelles et personnelles : poids grandissant du numérique, pression économique, méthodes de management, l’autonomie des salariés et tout simplement l’amour de son travail.
La vieillesse peut être vécue comme une libération, en permettant une vie riche et débarrassée des impératifs de la performance.
L’allongement de l’espérance de vie recouvre des enjeux économiques majeurs, qu’il s’agisse d’emploi, de retraite ou de dépendance. Il ouvre également la possibilité d’une vie active, source d’épanouissement individuel.