Dans notre imaginaire, les personnes grosses ou handicapées sont jugées malades, et donc inaptes à la beauté. Des stigmates difficiles à effacer.
Dans notre imaginaire, les personnes grosses ou handicapées sont jugées malades, et donc inaptes à la beauté. Des stigmates difficiles à effacer.
Pour le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron, l’empathie est menacée par des politiques, publicitaires, managers, extrémistes religieux… Tous seraient tentés de détourner la compassion pour autrui à leurs propres fins.
Pour les partisans de la « neurodiversité », l’autisme devrait être vu comme une autre forme d’intelligence, une façon spécifique de penser ou de voir le monde… Un discours parfois accusé de nier le caractère invalidant de ce trouble.
Informatique et imprimantes 3D : des outils pour le projet « Affirme ta différence » visant à encourager les jeunes porteurs d’un handicap physique à se réconcilier avec leur corps abîmé.
On les appelle « hétérogènes », ces enfants qui brillent par leur génie dans certains domaines et sont à la traîne dans d’autres. Quelles sont les particularités de ces enfants ? Comment expliquer ce grand écart ?
Des filles plus agiles avec les mots, des garçons se repérant mieux dans l’espace ? De tels écarts, sans être systématiques, existent tendanciellement. Sur ce sujet, la vieille querelle entre inné et acquis s’est ranimée.
Les hommes et les femmes ont-ils des cerveaux différents, qui les pousseraient, davantage que la pression culturelle, à adopter certains comportements ? Le débat est explosif…
Pour le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron, l’empathie est de plus en plus menacée par des manipulateurs de tous bords. Politiques, publicitaires, managers, extrémistes religieux…, tous seraient tentés de détourner la compassion pour autrui à leur propres fins.
Fruit de la globalisation, le cosmopolitisme incite à s’ouvrir aux autres et à vivre ensemble, dans la diversité culturelle. Mais son esprit n’est pas partagé par tous.
S’il existe des différences tendancielles, les mécanismes imaginaires des deux sexes fonctionnent de la même manière et tendent à produire des scénarii de plus en plus proches.
Les différences entre hommes et femmes sont-elles inscrites dans notre physiologie ou dans les rapports sociaux ? Trois essais récents permettent de dépasser les oppositions stériles qui structurent le débat.