Le regard sur la dyslexie change : longtemps perçue comme un trouble, elle est de plus en plus envisagée comme une divergence neurologique. à la clé, une autre perception du monde, plus globale et synthétique.
Le regard sur la dyslexie change : longtemps perçue comme un trouble, elle est de plus en plus envisagée comme une divergence neurologique. à la clé, une autre perception du monde, plus globale et synthétique.
« Dys » : ces trois lettres englobent un vaste spectre de troubles cognitifs allant de la dyslexie à la dyscalculie. Les dys ont pour point commun de perturber les apprentissages, sans mettre en cause l’intelligence.
La lecture est un des apprentissages les plus complexes qui soient. Les neurosciences en éclairent les mécanismes cognitifs sans toutefois délivrer de recette magique.
Les troubles de l’acquisition du langage écrit proviennent de plusieurs types de dysfonctionnements. D’où la nécessité de mettre en place des aides adaptées à chacun.
Les enfants dyslexiques souffrent d’un « déficit phonologique » : ils ont du mal à associer les sons aux graphèmes qui les représentent. De nouvelles approches, passant par la musique ou le jeu, donnent des résultats encourageants.
Le nombre des orthophonistes a explosé en l’espace d’une génération et leurs carnets de rendez-vous ne désemplissent pas. Comment en est-on arrivé là ?
Dyslexie, dysgraphie, bégaiement, dysphasie… En France, 4 à 5 % des enfants seraient affectés par un trouble de l’évolution du langage – soit un enfant par classe. Peut-on se fier à ces chiffres ? Quelles sont les causes des troubles du langage ? Comment sont-ils pris en charge ? Explications.
Le domaine des troubles des apprentissages est actuellement en pleine effervescence et la galaxie « dys » est en mouvement. Où en est-on ? Où va-t-on ? À quels risques s’expose-t-on ?