Les partis verts ont réussi à faire entrer en politique la cause environnementale. Mais ce succès a un revers : ils n’ont plus le monopole de la nature, cette thématique étant devenue transpartisane.
Les partis verts ont réussi à faire entrer en politique la cause environnementale. Mais ce succès a un revers : ils n’ont plus le monopole de la nature, cette thématique étant devenue transpartisane.
Tout repenser – l’humain, la démocratie, le monde – à l’aune de l’urgence écologique : c’est le pari de la pensée environnementale d’aujourd’hui.
Alors que l’homme a toujours essayé de se protéger des espèces sauvages, pourquoi, aujourd’hui, veut-il introduire des espèces animales et végétales en ville ?
À la veille de la conférence climat de Paris, l’accélération du réchauffement climatique nous oblige à repenser l’impact écologique de nos villes. Retour au vert ou smart cities ? Low-tech ou high-tech ? Pratiques solidaires ou individualisme branché ? Des visions très contrastées qui déterminent un choix de société.
Organiser les espaces de verdure en ville, tout en respectant l’écologie des sites, c’est l’objectif affiché de la gestion différenciée.
Objectif de la majorité des économistes et des gouvernements, la croissance économique est soumise à de nombreux débats. Est-elle en bout de course ? Est-elle nocive pour notre planète, donc pour l’humanité ?
Pour faire mieux avec moins, se présentent deux voies : jugaad ou low-tech. Comparatif.
Qu’y a-t-il de commun entre les apocalypses bibliques et l’annonce des catastrophes climatiques à venir ? Souvent, l’idée qu’une révolution des mœurs et des esprits pourrait nous en sauver.
La science-fiction a largement anticipé les enjeux écologiques actuels. Pourrait-elle nous aider à relever les défis qui attendent la planète ? Le chercheur Yannick Rumpala se penche sur la question.
Les bandes dessinées japonaises et leurs adaptations cinématographiques s’inspirent largement de religions et de philosophies méconnues en Occident, comme le shintoïsme et le bushido.
La croissance démographique n’est pas forcément une cause majeure de problèmes écologiques. Sauf quand elle se conjugue à la croissance économique…
Changement climatique, énergie, biodiversité…, autant de thèmes qui intéressent les historiens. Le dernier congrès de la Société européenne d’histoire environnementale démontre la vitalité du champ.
Pour être produits, les biens que nous consommons demandent parfois de fortes quantités d’énergie : c’est l’énergie grise.