Dans son dernier rapport, l’Observatoire du bien-être consacre un chapitre au changement climatique et à l’acceptabilité des mesures pour le contrer. Une capacité fortement corrélée à la sensation de bien-être.
Dans son dernier rapport, l’Observatoire du bien-être consacre un chapitre au changement climatique et à l’acceptabilité des mesures pour le contrer. Une capacité fortement corrélée à la sensation de bien-être.
En psychologie comme en économie, les rapports entre niveau de richesse et bien-être font l’objet d’études détaillées. Il serait même possible de définir un seuil optimal de revenu, au-delà duquel le niveau de satisfaction ne progresse presque plus.
Une logique économique explique la mise en place de la société d’hyperconsommation après les trente glorieuses. Mais cela n’a pu se faire sans la complicité des consommateurs.
Le but de la vie ne se réduit pas forcément à la quête de bonheur personnel. On peut concevoir aussi qu’il est d’autres voies pour réussir sa vie : celles du salut, de la vertu, de l’accomplissement, et bien d’autres encore qu’on peut atteindre à partir de sept portes principales.
L’argent ne fait pas le bonheur mais y contribue, dit-on. Mais est-il possible de le confirmer scientifiquement ?
La croissance économique fait-elle le bonheur ? L’idée, presque indiscutable voici un demi-siècle, est aujourd’hui radicalement mise en question. Les économistes eux-mêmes ont contribué à interroger la réduction du bonheur – individuel et collectif – au bien-être matériel.