Massivement fondées sur l’économie de l’attention, la plupart des plateformes numériques tirent leur rentabilité de la maximisation de notre temps d’utilisation. De quoi compromettre notre santé mentale ?
Massivement fondées sur l’économie de l’attention, la plupart des plateformes numériques tirent leur rentabilité de la maximisation de notre temps d’utilisation. De quoi compromettre notre santé mentale ?
On les accuse de nous avoir rendus dépressifs, anxieux, addict, crédules, les technologies numériques sont-elles vraiment responsables de tous les maux de la société ?
L’être humain serait-il animé de pulsions prédatrices qui en feraient par nature un animal violent ? Ou bien la violence est-elle une affaire de culture ? Depuis l’Antiquité, la question suscite des controverses passionnées.
Smartphones, ordinateurs et télé ont la réputation de nuire à notre repos. Pourtant le lien reste difficile à démontrer, et les spécialistes pointent plutôt les modes de vie dont les écrans font partie.
Dès le plus jeune âge, les enfants manipulent tablettes et smartphones, tout en jetant un œil à la télé allumée. Les parents se trouvent confrontés à une nouvelle tâche, et de taille : structurer les usages des écrans.
De l’ordinateur au téléphone portable, les écrans ont envahi le quotidien des enfants et adolescents. À la maison ou à l’école, peuvent-ils avoir des vertus ?
D’où vient l’emprise croissante sur nos vies des marchandises et des écrans ? De la puissance d’un « système » qui nous enrôle à notre insu ou de nos pulsions dévorantes ? C’est en analysant les chaînes de dépendance qui nous relient au monde de la consommation et des réseaux que l’on peut tenter de déjouer leur piège.
Les écrans (smartphones, ordinateurs, tablettes) ont envahi nos quotidiens au point de susciter des comportements parfois « addictifs » chez tout un chacun. Comment s’en prémunir ?