L’école doit-elle susciter l’adhésion à des valeurs communes ? Ou doit-elle assurer le respect des différences et la participation de chacun ? Cette hésitation révèle l’ambivalence de la notion de « citoyenneté ».
L’école doit-elle susciter l’adhésion à des valeurs communes ? Ou doit-elle assurer le respect des différences et la participation de chacun ? Cette hésitation révèle l’ambivalence de la notion de « citoyenneté ».
Ligue de l’enseignement, Maisons des jeunes et de la culture, Francas… : tous ces mouvements sont nés d’un projet d’émancipation humaine. Leur mission fut longtemps articulée avec celle des instituteurs. Ce lien s’est érodé.
Faire la guerre à l’ignorance et éduquer le peuple, tel a été l’objectif constant des mouvements d’éducation populaire. Même s’ils se sont déclinés en plusieurs doctrines et ont beaucoup évolué au fil des transformations sociales.
Apprendre est devenu une constante des sociétés contemporaines. Dans les loisirs comme au travail, à tous les âges de la vie, de manière formelle ou informelle, volontaire ou contrainte…
Auberges de jeunesse, scoutisme, maisons des jeunes et de la culture…, autant de moyens pour éduquer et cultiver le peuple. Durant le 19e et le 20e siècle, les mouvements d’éducation populaire ont affiché une belle vitalité.