Certains enfants et adolescents sont plus sensibles que les autres. Faut-il y voir la marque d’un cerveau immature, l’indice d’un trouble ou un trait durable de personnalité?
Certains enfants et adolescents sont plus sensibles que les autres. Faut-il y voir la marque d’un cerveau immature, l’indice d’un trouble ou un trait durable de personnalité?
Les enfants à haut potentiel intellectuel (HPI) suscitent fascination, fantasmes et parfois dénigrement. Qui sont-ils ? Comment les identifier et les accompagner au mieux ? Jacques Grégoire, spécialiste du diagnostic de l’intelligence, démêle le vrai du faux.
La dyspraxie altère la coordination au quotidien, à la maison comme à l’école. Difficile à vivre pour les enfants et pour les parents, ce trouble encore mal circonscrit est parfois associé à un haut potentiel intellectuel.
Provocateur, opposant, agité, ingérable… Quand l’enfant déjoue l’éducation au point de laisser son entourage désarmé, voire désespéré, la question d’une prise en charge se pose.
De plus en plus d’écoles hors contrat se spécialisent dans l’accueil des enfants atypiques qu’ils soient HPI, dys, autistes ou encore hyperactifs. Leur pédagogie peut-elle réussir là où l’Éducation nationale bute ? Sciences Humaines s’est rendu dans l’un de ces établissemens en région lyonnaise.
Dyslexie et dyspraxie, troubles de l’attention ou du spectre autistique, hyperactivité, haut potentiel intellectuel… : le repérage des enfants dits « atypiques » ne cesse de s’étendre. Cette médicalisation suscite un vif débat de société.