Les personnes addictes ne sont pas les seules à traverser des difficultés. Leurs familles et amis aussi peuvent en souffrir, et ont un rôle à jouer pour les aider à se libérer de la dépendance.
Les personnes addictes ne sont pas les seules à traverser des difficultés. Leurs familles et amis aussi peuvent en souffrir, et ont un rôle à jouer pour les aider à se libérer de la dépendance.
Pédiatre et psychanalyste anglais du début du 20e siècle, penseur influent toujours très populaire aujourd’hui, Donald W. Winnicott est un des premiers à s’être intéressé au rôle central de l’environnement dans la construction psychique du bébé. On lui doit des concepts tels que « l’objet transitionnel », « la mère suffisamment bonne » ou encore le « faux self ».
Certains enfants et adolescents sont plus sensibles que les autres. Faut-il y voir la marque d’un cerveau immature, l’indice d’un trouble ou un trait durable de personnalité?
Les enfants à haut potentiel intellectuel (HPI) suscitent fascination, fantasmes et parfois dénigrement. Qui sont-ils ? Comment les identifier et les accompagner au mieux ? Jacques Grégoire, spécialiste du diagnostic de l’intelligence, démêle le vrai du faux.
Si l’origine neurobiologique des troubles dys est bien établie, le rôle des facteurs sociaux et des inégalités dans les trajectoires individuelles reste mal connu.
Ce neuropsychiatre s’est surtout fait connaître par ses travaux sur la résilience, un concept qu’il a su relayer en France auprès d’un large public.
Figure de proue de la psychologie sociale, Albert Bandura a montré le rôle du sentiment d’efficacité personnelle. Ses théories partent d’une conception résolument optimiste de l’être humain.
La violence infantile fait l’objet d’une médicalisation croissante. Mais elle doit aussi faire l’objet d’une approche psychoéducative car elle s’enracine la plupart du temps dans le contexte familial et environnemental.
La thérapie familiale occupe une place à part dans le champ des psychothérapies contemporaines : elle ne s’adresse qu’à des groupes unis par des liens familiaux. Ce type de thérapie a le vent en poupe.
La violence est-elle innée ou acquise ? Existe-t-il des fondements biologiques (gènes, hormones) ou même cognitifs qui prédisposent à la violence ?
La question, on l’imagine, a fait couler beaucoup d’encre. À la fin du 19e siècle, Cesare Lombroso, le père de la criminologie avait cru repérer des faciès caractéristiques chez les criminels. Cette théorie du « criminel-né » allait être attaquée durement par les sociologues. Depuis des décennies, des recherches se sont accumulées sur les bases biologiques de la violence. Avec des résultats qui incitent à la prudence.
Comment, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, ce pédopsychiatre, psychanalyste et passionné d’éthologie, élabora une théorie devenue centrale dans la psychologie du développement.