Le sociologue des croyances a traversé une période fanatique dans sa jeunesse. Dans un récit étonnant, il raconte cette expérience exaltée qui a contribué à faire de lui le rationaliste qu'il est aujourd’hui.
Le sociologue des croyances a traversé une période fanatique dans sa jeunesse. Dans un récit étonnant, il raconte cette expérience exaltée qui a contribué à faire de lui le rationaliste qu'il est aujourd’hui.
« L’apocalypse terroriste s’abat sur New York et Washington », titre Le Figaro au lendemain des attaques du 11 septembre 2001. Cet attentat hors norme nous a-t-il fait basculer dans l’ère du terrorisme ?
Peut-on être fanatique et rationnel ? Plusieurs livres récents répondent par l’affirmative. Ils exposent la dynamique de groupe et les motivations qui enclenchent la mécanique extrémiste.
Qui sont ces fans capables d’une ferveur absolue au prix de leur vie personnelle et amoureuse ? Comment expliquer l’intensité de leur amour pour des idoles qu’ils ont placées au centre de leur vie ?
Les analyses ne manquent pas pour tenter de rendre compte des attentats meurtriers des jihadistes. Elles émanent de divers horizons : islamologues, historiens, politiques, psychologues ou experts des mouvements terroristes. Les théories explicatives peuvent se raccrocher à quatre grands groupes.