Depuis sa naissance, le capitalisme fait l’objet de violentes attaques. Hier soupçonné d’être un instrument de domination, aujourd’hui accusé de détruire la planète, il s’adapte, se reformule. Et résiste.
Depuis sa naissance, le capitalisme fait l’objet de violentes attaques. Hier soupçonné d’être un instrument de domination, aujourd’hui accusé de détruire la planète, il s’adapte, se reformule. Et résiste.
La finance mondiale a été largement dérégulée à partir des années 1980. Au risque de conséquences néfastes pour l’économie réelle, explique l’économiste Thomas Dallery.
Socle de la République française, la commune a connu de nombreuses évolutions. Quelles sont ses prérogatives ? Quels services doit-elle assurer aux habitants ? Pourquoi parle-t-on d’un malaise des maires ?
La prophétie marxiste vouait le capitalisme à la disparition. Mais il a, jusqu’à nouvel ordre, survécu aux crises en se transformant, et ses derniers avatars donnent à penser que sa ruine n’est pas pour demain.
Appauvrissement, expulsions massives… La crise des subprimes a posé avec acuité la question de la responsabilité des institutions financières et a donné naissance à un nouveau mouvement social.
Depuis la crise financière de 2008, des dispositifs de régulation ont été mis en place pour éviter un nouveau Krach financier mondial. Mais seront-ils vraiment suffisants ?
Si le rêve d’abolir le capitalisme s’éloigne, l’espoir d’une économie plurielle qui rééquilibrerait les forces en présence et réorienterait l’économie reste possible. Et nécessaire.
Ancien trader devenu instituteur, Gilles Vernet est l’auteur d’un documentaire sur l’accélération de nos vies, fortement inspiré par le philosophe Hartmut Rosa.
Quand les pétrodollars rejoignent les préoccupations éthiques… Basée sur l’interdit de l’intérêt, la finance islamique connaît une forte croissance autour du Golfe persique et en Malaisie.
Le capitalisme, vecteur de démocratie ? Cette thèse est aujourd’hui contredite par l’essor de régimes autoritaires, qui triomphent sur la scène économique sans rien céder en matière de démocratisation.
Les pays pauvres prêtent aujourd’hui aux riches. Ce paradoxe s’explique par une structuration inédite de l’épargne, dans une économie mondiale de plus en plus libéralisée.
La mondialisation économique n’est pas ce que l’on croit. Elle n’unifie pas le monde : elle le morcelle. Elle dynamise certains territoires et en fragmente d’autres.
Non contente d’avoir bouleversé le monde de l’entreprise, la finance a profondément imprégné l’économie des familles et la conduite des états.