Les écrans (smartphones, ordinateurs, tablettes) ont envahi nos quotidiens au point de susciter des comportements parfois « addictifs » chez tout un chacun. Comment s’en prémunir ?
Les écrans (smartphones, ordinateurs, tablettes) ont envahi nos quotidiens au point de susciter des comportements parfois « addictifs » chez tout un chacun. Comment s’en prémunir ?
L’observation (toujours plus intrusive) des internautes est au cœur du business model des géants du Web. Il est utile de connaître quelques mécanismes de surveillance pour en déjouer quelques-uns.
D’où vient l’emprise croissante sur nos vies des marchandises et des écrans ? De la puissance d’un « système » qui nous enrôle à notre insu ou de nos pulsions dévorantes ? C’est en analysant les chaînes de dépendance qui nous relient au monde de la consommation et des réseaux que l’on peut tenter de déjouer leur piège.
Une équipe de sociologues essaie d’identifier des classes sociales en Europe. Mais leur entreprise se heurte aux particularités nationales.
Notre attention, notre mémoire, nos raisonnements, ont été bouleversés par l’apparition d’Internet. Pour le pire ou pour le meilleur ?
Si oui, lesquelles ? Pourquoi ? Fonctionnent-elles quels que soient les troubles, et quel que soit le thérapeute ? Ces débats complexes se poursuivent depuis que les thérapies existent…
En moins de deux décennies, les ordinateurs et smartphones ont envahi notre vie quotidienne et se sont emparés de nos esprits. L’emprise est d’autant plus forte que nous en sommes les victimes à la fois consentantes et actives.
L’idée d’une crise de la démocratie est devenue un poncif. Faut-il pour autant craindre un recul des libertés et un retour des autoritarismes ?
Les informations fausses ou invérifiables prolifèrent sur les réseaux sociaux, amplifiées par des communautés qui les diffusent en un clic. La technologie est-elle en train de bouleverser notre rapport à la vérité ?
Sonder les mouvements de l’opinion sur la Toile, en s’appuyant sur des algorithmes ? L’idée fait son chemin, non sans poser de sérieux problèmes méthodologiques.