Dépenser pour se sentir mieux : c’est le credo de l’économie de marché et du marketing depuis le 18e siècle, au risque de susciter de nouvelles pathologies comme l’achat compulsif.
Dépenser pour se sentir mieux : c’est le credo de l’économie de marché et du marketing depuis le 18e siècle, au risque de susciter de nouvelles pathologies comme l’achat compulsif.
La valeur des marques découle essentiellement de leur « capital éthique », c’est-à-dire des affects qu’elles suscitent auprès des consommateurs. Le but des spécialistes du marketing est de gérer des communautés affectives autour d’elles.
De l’invention des supermarchés aux prix et promotions tendancieux, les grandes enseignes font tout pour pousser les clients à acheter. Mais ces derniers ne sont pas si passifs…
Du maniement des hommes et des femmes, dans le management, aux ruses du marketing pour nous pousser à la consommation, les entreprises modernes ont toujours cherché à nous manipuler.
Une logique économique explique la mise en place de la société d’hyperconsommation après les trente glorieuses. Mais cela n’a pu se faire sans la complicité des consommateurs.
Le trouble bipolaire se veut une alternance d’états de dépression et d’exaltation, frappant, depuis trente ans, une frange de plus en plus massive de la population. Pourquoi cette bonne fortune auprès des psychiatres ?
Vêtements, musique, jeux vidéo, cuisine… Le dernier cri, c’est d’être rétro. Qu’est-ce qui nous fait préférer l’ancien à l’actuel ? De quoi sommes-nous si nostalgiques ?