Au tournant des 18e et 19e siècles, le coaching émerge sur fond de synthèse entre le protestantisme et la psychologie d’une part, le perfectionnisme et le libéralisme d’autre part.
Au tournant des 18e et 19e siècles, le coaching émerge sur fond de synthèse entre le protestantisme et la psychologie d’une part, le perfectionnisme et le libéralisme d’autre part.
En Amérique, le « self-help » plonge ses racines dans des traditions religieuses, morales et philosophiques, qui ont vanté les mérites de l’effort et du perfectionnement de soi bien avant l’essor de la psychologie et du développement personnel.
À première vue, les techniques d’amélioration de soi n’ont jamais été aussi nombreuses et, à en croire certains, révolutionnaires. Mais qu’est-ce qui change vraiment ?
Se connaître soi-même, s’épanouir et se réaliser : de nombreux philosophes se déplacent sur le terrain du développement personnel, et façonnent des sagesses pratiques pour individus en quête de repères.
En portant haut et fort les valeurs individualistes, le développement personnel ne cesse de conquérir de nouveaux adeptes. Signe d’époque…