Ni rire, ni déplorer, ni maudire, mais comprendre : telle est la ligne philosophique de Spinoza, qui s’est inspiré de la démarche géométrique pour penser la nature des choses, le pouvoir politique et les passions humaines.
Ni rire, ni déplorer, ni maudire, mais comprendre : telle est la ligne philosophique de Spinoza, qui s’est inspiré de la démarche géométrique pour penser la nature des choses, le pouvoir politique et les passions humaines.
Chacun à sa manière, Auguste Comte, Friedrich Nietzsche et Karl Marx ont lancé un programme de destruction massive de la métaphysique.
À force de s’intéresser à notre faculté de connaître le monde, les philosophes en oublient le monde lui-même. Telle est la thèse souveraine du nouveau réalisme qui vise à réhabiliter l’existence du réel, indépendamment de nous.
Cela commence par une histoire d’amour très fusionnelle entre philosophie et science. Mais le couple va bientôt se brouiller jusqu’au divorce.
Depuis peu, les anciens amants se sont retrouvés et amorcent un timide dialogue.
Avant de vouloir connaître le monde, il faut d’abord connaître la pensée, sa puissance et ses limites. Que puis-je connaître ? Avec cette question inaugurale, la philosophie se donne un rôle critique.
Les bandes dessinées japonaises et leurs adaptations cinématographiques s’inspirent largement de religions et de philosophies méconnues en Occident, comme le shintoïsme et le bushido.
Quelle place accorder à la métaphysique hégélienne aujourd’hui ? Questions aux deux auteurs de Hegel au présent.
Jugée volontiers verbeuse et éthérée, on croyait la métaphysique enterrée. Pourtant elle revient, non pour réhabiliter les vieux systèmes d’autrefois, mais pour repenser sous un nouveau jour les éternelles questions qui habitent l’homme.