Le néolibéralisme fait souvent figure d’épouvantail dans les débats politiques. à quoi fait-il référence ? Pourrait-il être remplacé, et par quoi ?
Le néolibéralisme fait souvent figure d’épouvantail dans les débats politiques. à quoi fait-il référence ? Pourrait-il être remplacé, et par quoi ?
Trois décennies après l'effondrement du bloc communiste, l’Américain Francis Fukuyama n’a pas abandonné l’idée d’une supériorité de la démocratie libérale, malgré les contestations multiples qui la frappent.
La nouvelle génération de philosophes, attentive aux risques de dépossession citoyenne, porte un regard inquiet sur la démocratie. Et cherche des voies pour donner plus de pouvoirs au peuple.
La prophétie marxiste vouait le capitalisme à la disparition. Mais il a, jusqu’à nouvel ordre, survécu aux crises en se transformant, et ses derniers avatars donnent à penser que sa ruine n’est pas pour demain.
La mondialisation néolibérale entraîne une explosion des échanges, qui dope la production mondiale de richesses. Certaines régions du Monde, la Chine en tête, connaissent une croissance inédite.
« Pas d’économie qui ne soit politique et morale » : tel était le thème du grand colloque international des socioéconomistes, qui se tenait cet été sur le prestigieux campus de Berkeley.
Le néolibéralisme est un mouvement divisé, mais il a au moins deux invariants : la défense de l’économie de marché et la réduction du périmètre d’intervention de l’État.
Le mouvement altermondialiste semble avoir trouvé un nouveau souffle avec la vague des Indignés.
Des économistes de renom voient les inégalités comme la conséquence mais aussi la cause des dysfonctionnements de l’économie de marché.