L’accueillir, la comprendre, l’affronter ou tout simplement l’ignorer… Au fil des siècles, les philosophes ont préconisé des attitudes très différentes face à l’épineuse question de notre finitude.
L’accueillir, la comprendre, l’affronter ou tout simplement l’ignorer… Au fil des siècles, les philosophes ont préconisé des attitudes très différentes face à l’épineuse question de notre finitude.
Le sens que nous donnons à nos liens amicaux serait incompréhensible pour nos ancêtres de l’Antiquité au Moyen Âge. Pour eux, cette notion avait aussi un sens politique ou religieux.
Friedrich Nietzsche est l’auteur d’une critique radicale de l’humanisme. Selon lui, la morale est l’ultime ruse des faibles pour domestiquer les puissants.
Sceptique, cynique, kantienne, schopenhauérienne… Quelques stratégies de résistance philosophique à la connerie des autres, et surtout à la nôtre !
Le courant de la croissance posttraumatique postule qu’un traumatisme pourrait, à terme, représenter une chance. En nous rendant plus humain, plus attentif, plus résistant, il nous changerait, en mieux.
Si la philosophie est la recherche de la sagesse, le chemin pour l’atteindre n’est pas sans accroc. Contre eux-mêmes, leurs rivaux ou adversaires, les « sages » n’ont cessé de lutter, quitte à devenir de vrais bagarreurs.
Chacun à sa manière, Auguste Comte, Friedrich Nietzsche et Karl Marx ont lancé un programme de destruction massive de la métaphysique.
Depuis Platon, la philosophie, faussement désincarnée, est portée au mépris de la vie sensible. Nietzsche l’appelle au contraire à être affirmatrice et à nous réconcilier avec l’existence.
Pourfendeur du christianisme, de la morale débilitante et de tout idéalisme, Friedrich Nietzsche laisse une œuvre aussi atypique et protéiforme que discutée. Son culte de la vitalité menait-il à la célébration de la force cynique ou à l’ambition, pour l’homme, de se connaître mieux ?