Pour ses partisans, la décroissance ne devrait pas faire peur. Remplacer des biens matériels par des liens affectifs ne peut qu’accroître notre bien-être. Mais est-il avéré qu’on vit mieux en étant moins riche ?
Pour ses partisans, la décroissance ne devrait pas faire peur. Remplacer des biens matériels par des liens affectifs ne peut qu’accroître notre bien-être. Mais est-il avéré qu’on vit mieux en étant moins riche ?
La société française vivrait une « démoyennisation », c’est-à-dire un affaiblissement, voire une disparition de ses classes moyennes. Qu’en est-il ?
En une génération, le sud de la planète a connu un dynamisme sans précédent. La pauvreté est en chute libre, des classes moyennes ont émergé et découvert la société de consommation. Au nord, l’économie ne se porte pas si mal.
Représenter la population d’une société en fonction des inégalités économiques, des classes sociales, des âges ou des appartenances religieuses ou ethniques est un exercice éclairant. Selon les critères de démarcation retenus, des visions très différentes de la société peuvent apparaître.
Lorsqu’on leur demande d’estimer leur niveau de vie, une majorité de Français se trompe.
La croissance démographique n’est pas forcément une cause majeure de problèmes écologiques. Sauf quand elle se conjugue à la croissance économique…
Deux sociologues sont retournés enquêter auprès des pauvres d’une cité ouvrière d’Elbeuf. Comment vit la génération suivante ? Portrait d’un monde que la désindustrialisation a maintenu dans la précarité…
Un petit jardin, quelques fleurs, un garage...Pendant longtemps, le pavillon a symbolisé un idéal d’ascension sociale. Aujourd’hui, l’arrivée de nouveaux habitants venus de milieux populaires ne va pas sans attiser chez les anciens la peur du déclassement et certaines crispations.