Il y a vingt ans, on annonçait Internet comme une source infinie de découvertes. Que reste-t-il de cette utopie ?
Il y a vingt ans, on annonçait Internet comme une source infinie de découvertes. Que reste-t-il de cette utopie ?
La première révolution industrielle semble être portée par une vague d’innovations techniques. Pourtant, les historiens ne s’accordent ni sur le découpage ni sur les causes de l’industrialisation de l’Occident.
Objectif de la majorité des économistes et des gouvernements, la croissance économique est soumise à de nombreux débats. Est-elle en bout de course ? Est-elle nocive pour notre planète, donc pour l’humanité ?
La Théorie générale a dominé la pensée économique du XXe siècle. En présentant l’économie nationale comme un « circuit », John M. Keynes a jeté les bases de la « macroéconomie » et a donné ses fondements et justifications aux interventions régulatrices de l’État.
Low cost, achats d’occasion ou groupés, location, troc… Les consommateurs développent de nouvelles stratégies auxquelles les industriels cherchent à s’adapter. Ce faisant, une modification durable des modes de consommation s’opère.
Marx considérait que les crises sont l’expression des contradictions internes au capitalisme, et qu’elles doivent conduire à son effondrement. Mais il a laissé sa théorie des crises inachevée. Dans quelle mesure peut-il donc éclairer la crise d’aujourd’hui ?
La crise qui sévit depuis 2007 a sapé la légitimité des théories économiques. Certains économistes, comme André Orléan, ne proposent rien moins qu’une refondation de la discipline.