Les traités furent longtemps les principaux instruments de pacification des relations internationales. D’autres acteurs se mobilisent pour une paix « positive », jugée plus durable.
Les traités furent longtemps les principaux instruments de pacification des relations internationales. D’autres acteurs se mobilisent pour une paix « positive », jugée plus durable.
De l’Union européenne à l’Onu, les organisations intergouvernementales connaissent une crise sans précédent. Remises en cause par des gouvernements populistes, peu représentatives, elles pèchent par leur incapacité à se réformer.
La coopération internationale a une histoire récente, liée au processus de mondialisation. Quoique imparfaite, elle s’affirme, se sophistique, et transforme les relations entre États.
Le Proche-Orient explose, La Russie s’arme, la Chine menace ses voisins, l’Afrique de l’Est souffre… Mais qui pilote le monde ? Plus personne, affirme Pierre Hassner. Bienvenue dans le « désordre » mondial.
Pour maintenir la paix, les actions de l’Onu deviennent de plus en plus des missions politiques, ne se contentant plus de rester de simples opérations d’interposition.