Les partis ont perdu le monopole de l’expression politique. Malgré leurs efforts, ils peinent à mobiliser. Comment peuvent-ils surmonter cette crise ?
Les partis ont perdu le monopole de l’expression politique. Malgré leurs efforts, ils peinent à mobiliser. Comment peuvent-ils surmonter cette crise ?
Les élections présidentielles de 2017 ont vu s’affirmer un clivage entre les partisans du recentrage national et les défenseurs d’une société ouverte.
En dépit de leurs efforts, les partis peinent à mobiliser. Comment peuvent-ils surmonter cette crise de défiance ?
Le clivage droite/gauche structure en profondeur la vie politique française. Pourtant, deux tiers des Français pensent qu’il n’a plus de sens, tant gauche et droite conduisent à leurs yeux des politiques semblables. Comment en est-on arrivé là ?
D’où vient cette tendance de la politique à transformer les idées en idéologies ? Pourquoi est-il besoin d’agiter des étendards, de s’enflammer, de chercher des coupables et de susciter des espoirs (souvent déçus) ? La réponse à cette question nécessite un détour par l’histoire, pour voir comment naissent, se déploient, meurent et renaissent toujours les idéologies.
Le niveau de confiance à l’égard des partis, syndicats et institutions politiques n’a jamais été aussi bas. Ce qui n’empêche pas un intérêt pour la chose publique.
Le parti dirigé par Marine Le Pen n’a jamais semblé aussi fort dans l’opinion. Comment expliquer un tel succès ? Le FN a-t-il changé ? Des chercheurs en science politique renouvellent le débat.
Pour la science politique, il existe quatre grands modèles pour expliquer les comportements électoraux.