Des mots nouveaux ont surgi au fil des siècles pour désigner les multiples facettes de la fatigue. Ils témoignent d’un contexte social et culturel.
Des mots nouveaux ont surgi au fil des siècles pour désigner les multiples facettes de la fatigue. Ils témoignent d’un contexte social et culturel.
En enquêtant sur la prise en charge des anorexiques ou des victimes d’AVC, la sociologue Muriel Darmon montre combien les facteurs sociaux interviennent dans les parcours de soin.
Pour les partisans de la « neurodiversité », l’autisme devrait être vu comme une autre forme d’intelligence, une façon spécifique de penser ou de voir le monde… Un discours parfois accusé de nier le caractère invalidant de ce trouble.
D’un point de vue évolutionniste, la peur permet d’affronter des situations menaçantes. Mais l’anxiété peut devenir envahissante et altérer la qualité de vie.
Peut-on définir de manière objective ce qu’est la santé ? Existe-t-il une frontière claire et universelle entre ce qui relève de la normalité et ce qui relève de la pathologie ? Non, répond la philosophe Élodie Giroux, les dimensions psychosociales, et même culturelles, des maladies rendent impossible toute tentative de les définir de façon univoque.
Le burnout, tare du monde professionnel contemporain ? Dans les faits, il ne touche pas toutes les personnalités, et le travail est rarement seul en cause. La frontière est floue entre le burnout et la dépression.
De même que les grandes épidémies tueuses ont été éradiquées au 20e siècle des sociétés développées, il est possible de réduire massivement les cancers et les maladies cardiovasculaires, nouveaux fléaux de notre temps. Les solutions existent.
Des troubles de la fertilité aux phénomènes de puberté précoce, les troubles endocriniens inquiètent les autorités sanitaires. Phtalates et pesticides sont mis en cause.
Chacun a son rythme biologique qui se répercute dans ses façons de penser, d’agir et d’interagir. Trouver le bon tempo au travail permet de gagner en efficacité et de préserver sa santé.
Mémoire et oubli sont indissociables : c’est en sélectionnant des souvenirs, donc en oubliant certains d’entre eux, que nous construisons notre identité.