La fragmentation des modes de vie s’est traduite sur le plan politique par une bipolarisation entre des grandes villes progressistes, de gauche ou du centre, et des zones rurales et périurbaines plus conservatrices.
La fragmentation des modes de vie s’est traduite sur le plan politique par une bipolarisation entre des grandes villes progressistes, de gauche ou du centre, et des zones rurales et périurbaines plus conservatrices.
Parfois assimilés aux marges reléguées, les espaces périurbains paraissent moins attractifs qu’auparavant. Habiter à la périphérie d’une grande ville, rêve ou cauchemar ?
L’accès à la propriété, encouragée par l’État, génère des coûts invisibles et change les modes de vie. Enquête à Cleyzeu-Lamarieu (Isère) où le rêve se transforme parfois en piège.
Les 24 et 25 janvier derniers se tenait le Forum des vies mobiles, avec pour thème central « Des mobilités durables dans le périurbain, est-ce possible ? ». Avant de répondre à la question, il fallut d’abord définir ce que pouvait bien être le périurbain.