Les jeunes générations font preuve d’autant d’engagement dans leur travail que les plus anciennes. Mais elles ne donnent pas le même sens à ce mot, ce qui peut déclencher des tensions.
Les jeunes générations font preuve d’autant d’engagement dans leur travail que les plus anciennes. Mais elles ne donnent pas le même sens à ce mot, ce qui peut déclencher des tensions.
Alcool, cigarettes, drogues… mais aussi écrans, jeux, sexe, achats, travail. Peut-on vraiment être accro à tout et n’importe quoi ? Les nouvelles addictions comportementales sont-elles en train de remplacer les dépendances d’antan ?
La parenthèse germanopratine inaugure une méthode de travail à part entière qu’Edgar Morin théorisera par la suite : la « combibentalité ». Pour faire fructifier les idées, rien de tel que des rencontres variées autour de bonne chère et de boissons voluptueuses !
Depuis trente ans, le philosophe Jean-François Balaudé est un fan inconditionnel de cyclisme. Sa passion pour le vélo est venue nourrir sa pensée théorique.
Selon les neurosciences, stimuler la curiosité et le plaisir active le circuit de la dopamine et aiguise le désir d’apprendre, un besoin fondamental des êtres humains.
Faut-il poursuivre le plaisir à la manière des épicuriens ou bien la vertu à la façon des stoïciens ?
Des stoïciens à Rousseau, de Descartes à Spinoza ou Sartre, les philosophes ont cherché à dégager des modèles de sagesse forgés à partir de grands principes. Mais ne sont-ce pas là, comme le pensait déjà Aristote, des abstractions éloignées des contingences de la vie réelle ?
Pour que notre libido s’active, certains neurones doivent se désactiver. C’est ce que montre l’imagerie cérébrale, qui permet de repérer les zones impliquées dans l’excitation et le plaisir sexuels.
Même dans le monde animal, le sexe ne sert pas seulement à se reproduire… Des études récentes offrent un autre regard sur les origines, les raisons d’être et les effets de la sexualité sur les êtres vivants.
L’activité sportive est-elle toujours bénéfique ? Tout dépend de ce que l’on recherche à travers elle : performance, équilibre ou maîtrise de soi.
Le vocabulaire du bien-être et de la qualité de vie s’invite de plus en plus sur nos lieux professionnels. Mais les conditions de travail ont du mal à se mettre au diapason.