Cela commence par une histoire d’amour très fusionnelle entre philosophie et science. Mais le couple va bientôt se brouiller jusqu’au divorce.
Depuis peu, les anciens amants se sont retrouvés et amorcent un timide dialogue.
Cela commence par une histoire d’amour très fusionnelle entre philosophie et science. Mais le couple va bientôt se brouiller jusqu’au divorce.
Depuis peu, les anciens amants se sont retrouvés et amorcent un timide dialogue.
Peut-on, à partir de quelques idées simples et d’une bonne méthode, reconstruire le monde comme le prétend René Descartes.
Avant de vouloir connaître le monde, il faut d’abord connaître la pensée, sa puissance et ses limites. Que puis-je connaître ? Avec cette question inaugurale, la philosophie se donne un rôle critique.
Le cerveau est composé de multiples centres spécialisés ne se contentant pas de coopérer entre eux : ils s’affrontent, rivalisent et suivent leurs propres logiques. La conscience intervient pour régler ces conflits à un niveau supérieur.
La « théorie critique » de l’école de Francfort visait à dévoiler, derrière l’illusion d’une raison triomphante et universelle, une idéologie aliénante marquant la justification d’un ordre social dominant.
Les fondateurs de l’école de Francfort poursuivent l’œuvre critique du marxisme et l’étendent à ce qui incarne l’esprit de la modernité : les Lumières et la raison.
Il a déjà montré que les émotions sont indispensables à la validité de nos raisonnements. Dans son dernier ouvrage, Antonio Damasio estime qu’elles pourraient être à l’origine de la conscience humaine et animale.