Les enfants dysgraphiques, à l’écriture illisible et ralentie, sont souvent en grande difficulté à l’école. Alors qu’ils sont en général dotés de bonnes facultés intellectuelles, leur écriture peut les mettre en échec.
Les enfants dysgraphiques, à l’écriture illisible et ralentie, sont souvent en grande difficulté à l’école. Alors qu’ils sont en général dotés de bonnes facultés intellectuelles, leur écriture peut les mettre en échec.
Longtemps considéré comme symptôme d’une personnalité trop émotive ou fragile, le bégaiement est aujourd’hui mieux compris et pris en charge grâce aux récents apports des neurosciences.
Les troubles neurovisuels, longtemps méconnus et pourtant très handicapants, sont aujourd’hui de mieux en mieux dépistés et corrigés par des programmes de rééducation.
Entre défenseurs d’une approche neurodéveloppementale moderne et thérapeutes attachés au modèle psychanalytique, la guerre des psys est relancée de plus belle.
Les psychomotriciens s’intéressent aux relations complexes entre corps et esprit. Ils tentent de remettre de l’harmonie et de la fluidité là où il y a désordre ou blocage.
Orthophonistes, psychomotriciens, ergothérapeutes… Les rééducateurs sont aujourd’hui de plus en plus sollicités, notamment par les parents d’enfants en difficulté à l’école. En quoi consiste leur travail ?
Dys, hyperactifs, hauts potentiels… les enfants au profil « atypique » sont souvent en peine avec les méthodes traditionnelles à l’école. Pour les aider, les pédagogues et rééducateurs font appel aux cartes mentales.