Si quelques noms de la littérature française brillent dans les médias et vivent confortablement, la majorité des écrivains connaissent précarité et insécurité financière. Une situation que l’économie de l’édition ne semble pas en mesure de réguler.
Si quelques noms de la littérature française brillent dans les médias et vivent confortablement, la majorité des écrivains connaissent précarité et insécurité financière. Une situation que l’économie de l’édition ne semble pas en mesure de réguler.
Infirmière, éboueur, caissière..., la crise sanitaire a souligné le décalage criant entre la dimension « essentielle » de certaines activités et leur faible rémunération.