Massivement fondées sur l’économie de l’attention, la plupart des plateformes numériques tirent leur rentabilité de la maximisation de notre temps d’utilisation. De quoi compromettre notre santé mentale ?
Massivement fondées sur l’économie de l’attention, la plupart des plateformes numériques tirent leur rentabilité de la maximisation de notre temps d’utilisation. De quoi compromettre notre santé mentale ?
Alors que les professionnels de la délinquance s’inquiètent des contenus disponibles sur Snapchat ou TikTok, la recherche peine à établir un lien direct entre réseaux sociaux et violences.
Espaces d’échange et de valorisation de soi, les réseaux sociaux regorgent de corps minces, jeunes et musclés, ultranormés et hypersexualisés. De quoi provoquer une épidémie mondiale de complexes ?
Une étude internationale révèle que les mouvements de protestation sont en forte hausse dans les régimes autoritaires.
Les recommandations et conseils des internautes, stars des réseaux sociaux, s’apparentent à une nouvelle forme de coaching.
Votre ado a le nez collé à l’écran de son smartphone ou de son ordinateur ? Pas de panique. Quelques pistes pour mieux l’accompagner.
De l’amitié aux réseaux sociaux, des jeunes de 6 à 17 ans prennent la parole sur des sujets qui leur tiennent à cœur. Ils font part de leur vision du monde et de leurs rêves.
Une enquête sociologique révèle la banalisation des agressions entre collégiens sur les réseaux sociaux. Souvent vicieuses, ces attaques ciblent la réputation des adolescents.
Depuis l’apparition des smartphones, nos amitiés s’entretiennent en continu, via les réseaux sociaux, en parallèle des rencontres classiques. Une situation qui nous oblige à renégocier en permanence ce lien, en fonction de nos priorités.
Beaucoup de personnes exposent leur vie intime sur Internet. Mais se livrent-elles vraiment, ou s’agit-il de nouvelles formes de mise en scène de soi très codifiées ?
Les « sectes » ont changé de visage. De petites entités dématérialisées émergent, portées par la puissance des réseaux sociaux. Les mouvements complotistes constituent un terreau particulièrement favorable.
La valeur des marques découle essentiellement de leur « capital éthique », c’est-à-dire des affects qu’elles suscitent auprès des consommateurs. Le but des spécialistes du marketing est de gérer des communautés affectives autour d’elles.