Dans Un monde sous dopamine, la psychiatre américaine Anna Lembke analyse nos rapports modernes au plaisir et à la jouissance, et décrypte notamment les mécanismes neurophysiologiques en jeu dans les addictions.
Dans Un monde sous dopamine, la psychiatre américaine Anna Lembke analyse nos rapports modernes au plaisir et à la jouissance, et décrypte notamment les mécanismes neurophysiologiques en jeu dans les addictions.
Peut-on se remettre d’une maladie psychiatrique et reprendre la vie d’avant comme si de rien n’était ? Faut-il lui donner un sens pour en sortir ? Mais en sort-on jamais vraiment ?
Pour se construire et donner un sens à leur vie, les enfants se nourrissent d’histoires qui leur permettent d’affronter les épreuves, voire de surmonter les traumatismes.
Le regard sur la dyslexie change : longtemps perçue comme un trouble, elle est de plus en plus envisagée comme une divergence neurologique. à la clé, une autre perception du monde, plus globale et synthétique.
Pour Boris Cyrulnik, il existe deux manières de penser le monde. À la pensée paresseuse des « mangeurs de vent » qui chérissent l’embrigadement, il oppose le courage de ceux qui cultivent une pensée libre, ancrée dans la réalité sensible.
Les crises économiques frappent inégalement les entreprises. Les premières menacées sont les plus fragiles, celles qui connaissaient déjà des difficultés. Pour le manager, la façon de faire face se résume à trois stratégies fondamentales : le redressement, la restructuration ou la métamorphose.
Deuils, isolement, perte d’autonomie…, nos aînés ont-ils encore les ressources pour rebondir après tant d’épreuves ?
Le courant de la croissance posttraumatique postule qu’un traumatisme pourrait, à terme, représenter une chance. En nous rendant plus humain, plus attentif, plus résistant, il nous changerait, en mieux.
Les grandes épreuves ébranlent notre identité et menacent notre survie. Qu’il s’agisse de maladie, de perte d’emploi, de rupture ou de crise économique, deux questions les traversent : faut-il donner du sens à ce qui nous arrive ? Et comment s’en sortir ?
L’annonce d’une maladie grave sidère et bouleverse. Quand bien même la guérison survient, l’épreuve traversée scelle un impossible retour à la vie d’avant.
Issue de la physique des matériaux, cette notion s’est étendue à la psychologie puis aux sciences sociales. Son succès s’explique par une aspiration humaine fondamentale : celle de croire possible de résister à un contexte traumatique.
Sans chercher à imposer le diktat d’un bonheur individuel, la psychologie positive étudie scientifiquement ce qui rend la vie riche de sens et de potentialités.
Ce neuropsychiatre s’est surtout fait connaître par ses travaux sur la résilience, un concept qu’il a su relayer en France auprès d’un large public.
Réagir contre le terrorisme consiste aussi à se protéger de ses effets psychologiques, et il existe des méthodes pour y parvenir. Développées en Israël, elles s’exportent aujourd’hui dans de nombreux pays.
À quoi peuvent bien rêver les jeunes Palestiniens ? À quoi jouent-ils ? Comment peuvent-ils se construire un avenir ? Psychologue en Palestine, Sylvie Mansour livre ici le résultat de ses observations au quotidien.
Comment se reconstruire lorsque l’existence a été fracassée par un drame ? L’affection et l’empathie, le soutien de personnes bienveillantes sont une source majeure de résilience.