Seconde guerre mondiale

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les recherches sur la Shoah ont évolué, en s’ouvrant à l’histoire des victimes comme à celle des bourreaux. Aujourd’hui, leur dynamisme s’appuie sur de nouvelles approches.

De la Première Guerre mondiale (1914-1918) à la Seconde (1937-1945), les cartes de la puissance sont rebattues. L’Europe s’éclipse, l’URSS s’isole, l’Amérique connaît la crise, le Japon se radicalise, le reste du Monde patiente.

Alcool, opiacés, cocaïne : les stimulants au combat ne sont pas une invention allemande. Mais le recours aux drogues des troupes du IIIe Reich a marqué l’usage militaire. Et son chef suprême n’était pas en reste.

1945 : alors que la défaite est devenue inéluctable, le gouvernement japonais envoie des milliers de jeunes pilotes au suicide. Soixante-dix ans plus tard, peut-on comprendre le sacrifice des kamikazes ?

La Seconde Guerre mondiale s’achève le 8 mai 1945 en Europe. Mais, dans de nombreuses régions, des combats se poursuivent, comme si la violence libérée lors du conflit ne pouvait s’arrêter, transformant les victimes en bourreaux.