Dépenser pour se sentir mieux : c’est le credo de l’économie de marché et du marketing depuis le 18e siècle, au risque de susciter de nouvelles pathologies comme l’achat compulsif.
Dépenser pour se sentir mieux : c’est le credo de l’économie de marché et du marketing depuis le 18e siècle, au risque de susciter de nouvelles pathologies comme l’achat compulsif.
Démocratisation de la mode, invention des soldes, création de la vente par correspondance… Au milieu du 19e siècle, les grands magasins révolutionnent le commerce, ouvrant la voie à la consommation de masse. Une épopée racontée par le musée des Arts décoratifs dans une foisonnante exposition.
Faire appel à l’altruisme ou à la morale ne fonctionne pas. L’utilitarisme est paradoxalement mieux armé.
Face à la crise climatique et l’épuisement des ressources naturelles, un changement radical semble s’imposer. Mais cette sobriété reste souvent mal comprise.
Les géants du numérique (Amazon, Netflix, Facebook…) bénéficient d’une offre à la fois massive et individualisée. Des ripostes s’organisent mais se heurtent à un modèle économique plus général.
Pour prospérer, les entreprises doivent s’adapter aux cultures locales, mais aussi prescrire de nouvelles pratiques culturelles.
De nouveaux modes de consommation circulaire cherchent à développer des boucles vertueuses, afin de réduire l’utilisation de ressources et d’énergie. Quelles sont leurs forces et leurs limites ?
Consommer n’est pas simplement acheter, mais projeter du sens sur des biens marchands et transformer nos relations sociales. C’est un acte politique.
De l’invention des supermarchés aux prix et promotions tendancieux, les grandes enseignes font tout pour pousser les clients à acheter. Mais ces derniers ne sont pas si passifs…
La consommation est assimilée à la possession et à l’accumulation d’objets. Mais pour la comprendre, il faut revenir aux trois activités fondamentales de l’agir humain : l’être, l’avoir et le faire.