L’accueillir, la comprendre, l’affronter ou tout simplement l’ignorer… Au fil des siècles, les philosophes ont préconisé des attitudes très différentes face à l’épineuse question de notre finitude.
L’accueillir, la comprendre, l’affronter ou tout simplement l’ignorer… Au fil des siècles, les philosophes ont préconisé des attitudes très différentes face à l’épineuse question de notre finitude.
Ni rire, ni déplorer, ni maudire, mais comprendre : telle est la ligne philosophique de Spinoza, qui s’est inspiré de la démarche géométrique pour penser la nature des choses, le pouvoir politique et les passions humaines.
Descartes et Spinoza conçoivent l’union de l’âme et du corps de manière très différente. Tandis que Descartes voit deux substances qui agissent l’une sur l’autre, pour Spinoza, c’est une seule et même chose, vue sous deux aspects.
Sans opposer l’âme et le corps, l’éthique de Spinoza nous invite à produire et entretenir les affects joyeux pour augmenter notre puissance d’agir.
La mort est l’horizon indépassable de toute vie. Comment les philosophes appréhendent-ils cette réalité ? Les positions divergent. Petit panorama.
Sans opposer l’âme et le corps, l’éthique de Spinoza nous invite à produire et entretenir les affects joyeux pour augmenter notre puissance d’agir.