Durant des siècles, l’Église s’est chargée de guider les âmes égarées vers le salut. Ses exercices spirituels ont influencé la psychothérapie et le coaching.
Durant des siècles, l’Église s’est chargée de guider les âmes égarées vers le salut. Ses exercices spirituels ont influencé la psychothérapie et le coaching.
Au tournant des 18e et 19e siècles, le coaching émerge sur fond de synthèse entre le protestantisme et la psychologie d’une part, le perfectionnisme et le libéralisme d’autre part.
Plus individualisées que les monothéismes, les spiritualités néopaïennes séduisent des individus en quête de changement de vie. Elles ont en commun de promettre un bien-être taillé sur mesure.
Pour le philosophe Abdennour Bidar, nos sociétés sont frappées par une triple crise du lien : le lien à soi-même, aux autres et à la nature sont abîmés et en souffrance. Il en appelle à une révolution spirituelle.
Le yoga est assimilé à des postures corporelles et à la méditation. Pourtant, le yoga ne présupposait aucune posture physique particulière, le but étant surtout de se libérer de ses souffrances.
Renoncer non seulement aux plaisirs vains de ce monde, mais renoncer aussi à l’amour de soi pour se vouer à l’adoration de Dieu. Telle est la vision de Pascal et d’une spiritualité chrétienne, qui est peut-être moins coûteuse qu’on l’imagine.
Ce que nous savons de l’Inde s’est construit en grande partie sur nos attentes occidentales. Et si la patrie de la spiritualité, de sa découverte en 1780 aux rêveries modernes, n’était qu’une construction de notre imaginaire ?
Admirée pour son œuvre où elle raconte ses expériences spirituelles, cette grande mystique fut aussi une femme de pouvoir, fondatrice de nombreux couvents et réformatrice de l’ordre du Carmel.
De plus en plus individualisées et émancipées des institutions qui les encadrent, les croyances religieuses gardent de leur vitalité.
Apparu dès l’aube de l’islam, le soufisme en représente une dimension spirituelle, intérieure. Panorama…
Le new age, le fondamentalisme ou l’évangélisme ne sont que des facettes d’une nouvelle ère religieuse. Ils seraient l’expression d’une humanité prise entre la célébration de l’individu et la volonté de s’ouvrir à un monde de plus en plus interconnecté.
Si l’origine du religieux a pris place à un moment indéterminé de la préhistoire, son évolution a été marquée par deux périodes clés de mutations conjointes entre société et spiritualité : la révolution néolithique et le moment axial.