Abolir le travail supposerait non seulement de trouver de nouveaux moyens de subsistance, mais surtout une autre façon de faire société.
Abolir le travail supposerait non seulement de trouver de nouveaux moyens de subsistance, mais surtout une autre façon de faire société.
En France comme aux États-Unis, les taux de démission atteignent des niveaux très élevés. Au point que certains brandissent le spectre d’une « grande démission », qui semble réductrice.
La pression intense fragilise la santé et les compétences des collaborateurs, parfois jusqu’au sentiment de dépossession. Comment reprendre son souffle ?
Selon notre poste, nous sommes plus ou moins contraints ou autonomes dans la gestion de notre temps de travail. Une inégalité silencieuse ?
Père de l’écologie politique et de la décroissance, André Gorz a eu une influence importante sur la gauche grâce à son « utopie concrète » : un monde où le travail, aboli, céderait la place à des activités autonomes, conviviales et créatives. Dix ans après son suicide, que reste-t-il de ses idées ?
Remède à la crise économique pour les uns, régression néolibérale pour les autres, la flexibilité a en réalité plusieurs facettes : salaires, postes de travail, statuts…
Chacun a son rythme biologique qui se répercute dans ses façons de penser, d’agir et d’interagir. Trouver le bon tempo au travail permet de gagner en efficacité et de préserver sa santé.
Réduire le temps de travail des employés les plus sollicités pour réinsérer les chômeurs dans le monde professionnel, une idée simple mais novatrice pour construire la société de demain.
Formation des jeunes et partage du travail : Denis Clerc propose deux pistes pour inverser la courbe du chômage.
« Time is money », disait Benjamin Franklin. C’est faux ! Le temps est beaucoup plus précieux que l’argent. Maîtriser son temps, c’est d’abord la liberté de décider de sa vie.
Les rythmes quotidiens restent largement structurés par le temps de travail et son morcellement croissant. La conciliation avec la famille et les loisirs reste complexe, en particulier pour les femmes.
Synonyme de servitude pour l’Antiquité, le travail est devenu une valeur des sociétés modernes. Et si la paresse nous mettait sur la voie d’une société plus juste favorisant l’épanouissement de chacun ?