Les manifestants des printemps arabes ou les Gilets jaunes ont impressionné par leur persévérance. Mais qu’est-ce qui insuffle son énergie et fait tenir un mouvement social dans la durée ?
Les manifestants des printemps arabes ou les Gilets jaunes ont impressionné par leur persévérance. Mais qu’est-ce qui insuffle son énergie et fait tenir un mouvement social dans la durée ?
Que se passe-t-il dans notre cerveau quand on se dépasse ? Réponse avec la neuropsychologue Sylvie Chokron, qui publie Dans le cerveau de… (Presses de la Cité, 2024).
Toutes les cultures humaines vantent les mérites de la ténacité. Mais avec des nuances linguistiques et philosophiques… Focus sur quatre cousines : le sisu, la grinta, la niaque et le grit.
Dans le monde du sport, la préparation psychologique des athlètes est de plus en plus valorisée. Le mental se scrute, se prépare et se muscle. Atout décisif d’un champion ou d’une grande équipe, il ne se résume ni à la persévérance ni à la rage de vaincre…
Discuter avec les enfants, les inciter à se passionner pour une activité extrascolaire, les féliciter en insistant sur leurs progrès plutôt que sur leur talent… Il existe à en croire les spécialistes des solutions pour stimuler la niaque et ce, dès le plus jeune âge.
Aux États-Unis, la niaque est vue comme le nerf de la réussite. Elle véhicule avec elle un cortège de valeurs : la volonté individuelle, la pugnacité, la résilience… Un nouveau champ de recherches s’attache à en comprendre les causes et les effets.
Tomber sept fois, se relever huit : ce proverbe japonais, issu de la culture des samouraïs, pourrait résumer les destins des icônes mondiales de la culture populaire.
De plus en plus d’adultes retournent chaque année sur les bancs de l’université. Mais comment garder la niaque quand on doit tout concilier ?
Chercheur renommé, mais également ancien joueur de basket et guitariste à ses heures, le professeur de psychologie canadien Robert Vallerand a fait de la passion son objet d’études. Ses recherches sur les processus motivationnels l’ont amené à dissocier deux rapports à la passion : l’un harmonieux, l’autre obsessif.