En novembre 1998, Sciences Humaines rencontre Paul Veyne. Ce spécialiste du monde gréco-romain affirme la subjectivité de tout récit historique : des vérités dites éternelles ont toujours une inscription dans l’histoire.
En novembre 1998, Sciences Humaines rencontre Paul Veyne. Ce spécialiste du monde gréco-romain affirme la subjectivité de tout récit historique : des vérités dites éternelles ont toujours une inscription dans l’histoire.
Pour l’historien Paul Veyne, la religion n’est qu’un des éléments d’une civilisation, et non sa matrice. Et si le christianisme est omniprésent dans notre paysage, il n’est pour beaucoup d’entre nous qu’un patrimoine venu du passé.