La révolution néolithique n’a pas scellé le sort de nos rapports avec la nature. Ce sont des ruptures civilisationnelles plus tardives qui ont instauré son exploitation et sa marchandisation.
La révolution néolithique n’a pas scellé le sort de nos rapports avec la nature. Ce sont des ruptures civilisationnelles plus tardives qui ont instauré son exploitation et sa marchandisation.
En se coupant de la biologie, les sciences sociales ont perdu l'ambition de dégager les lois générales des sociétés humaines et non humaines. Un défi que le sociologue tente de relever dans son dernier ouvrage, qui fait la synthèse de plus de 150 ans de recherches sur le vivant.
Parmi les pionniers de l’écologie, Rachel Carson, spécialiste des océans, a mis en évidence les effets nocifs des pesticides, capables de contaminer toute la chaîne alimentaire.
Grand penseur du temps, de la créativité, de l’élan vital ou encore de l’humour, Henri Bergson considérait que la philosophie ne servait à rien si elle n’était pas d’abord « une préparation à bien vivre ».
Grand penseur du temps, de la créativité, de l’élan vital ou encore de l’humour, Henri Bergson considérait que la philosophie ne servait à rien si elle n’était pas d’abord « une préparation à bien vivre ».
L’hypothèse d’une vie sur d’autres planètes est longtemps restée spéculative, mais des indices scientifiques montrent qu’elle devient plausible.
Nous avons l’impression d’être une personne unique, alors que d’autres formes de vie nous constituent. Partout dans la nature, d’étonnante symbioses remettent en question les frontières du vivant.
Ces microorganismes ont besoin d’entrer dans une cellule pour croître et se multiplier. Ils remettent en question les limites de la vie.
À la différence d’un objet inerte, un être vivant apparaît comme animé par un élan intérieur ou une sorte de pulsion. Mais ce mouvement est-il réellement indispensable pour définir la vie ?
D’Aristote aux recherches sur la génétique, la définition de la vie n’a cessé d’évoluer. L’historien des sciences Michel Morange explique pourquoi elle reste ouverte.
Les religions entretiennent des rapports variés avec le vivant. Tour d’horizon.
Le corps n’est pas au service de l’esprit : il en fait partie. Telle fut la thèse défendue par Francisco Varela, théoricien de la « cognition incarnée » et pionnier du rapprochement entre bouddhisme et neurosciences.
La biosémiotique est une jeune discipline qui part du principe que tout ce qui est vivant interagit et communique par des signes. La science rejoint ainsi l’animisme des Indiens Runas.