Nouvelle identité religieuse au sein de l’islam, le salafisme est-il la matrice idéologique des groupes jihadistes ?
Tous les articles parus sur scienceshumaines.com en octobre 2015.
Nouvelle identité religieuse au sein de l’islam, le salafisme est-il la matrice idéologique des groupes jihadistes ?
Le Tabligh est un mouvement de prédication transnational. Autrefois acteur majeur de la réislamisation, il s’essouffle aujourd’hui.
Que ce soit à l’échelle de la France ou du monde, l’islam semble polarisé entre régression communautaire et fascination pour la modernité. Mais plusieurs voies restent ouvertes. Décryptage.
Outre la guérison elle-même, on parle aussi de mieux-être, qualité de vie, disparition des symptômes, rétablissement… Qu’est-ce qui les différencie ?
Prendre soin de son corps s’impose comme un ingrédient indispensable pour se sentir mieux dans sa tête. Sans forcément devenir un grand sportif…
L’état psychologique peut jouer un rôle dans la guérison ou la rémission de maladies physiques. Du moins dans une certaine mesure…
Se persuader qu’on va bien : est-ce vraiment possible ? Utile ? Suffisant pour tenir bon face aux coups du sort ?
Lorsque la maladie s’installe durablement, elle transforme l’individu qui la porte : il doit faire le deuil de sa vie d’avant, tout en se créant une nouvelle conception de lui-même. En donnant quelle place à la maladie ?
« Parce que c’était lui, parce que c’était moi » : les bienfaits de l’amitié ne sont plus à prouver. Mais face aux épreuves de la vie, la célèbre formule de Montaigne a-t-elle ses limites thérapeutiques ?
Quand elle advient, ce n’est ni grâce à un médicament, ni grâce à une psychothérapie. Miracle ? Destin ? Réaction surprenante de l’individu quand il se retrouve confronté à certains événements, ou travail du temps ?
Faut-il toujours guérir de sa maladie pour aller mieux ? À l’évidence, oui. Mais à la réflexion… pas forcément !
Évaluer l’efficacité d’une psychothérapie ? En voilà une idée saugrenue, pourraient penser certains. Loin des critères physiques de la médecine, la psychothérapie plonge son évaluateur dans le psychique, l’immatériel. Et pourtant…
C’est là un paradoxe : même quand un praticien est formé aux meilleures thérapies pour un trouble donné, il ne les utilise pas toujours… Pourquoi ? Réponse avec le cas spécifique du trauma et de sa prise en charge.
Chaque thérapeute a son style : certains font « hmm, hmm », d’autres considèrent une prise en charge comme une partie d’échecs, d’autres encore se veulent dans l’empathie totale. Mais les plus efficaces ont-ils des techniques personnelles particulières ?
Malgré les études pointant les effets indésirables, les Français consomment toujours plus de médicaments pour traiter le stress, la déprime, la dépression, les problèmes d’anxiété… Comment expliquer et gérer ces excès ?
Surveiller sa santé physique ou mentale à l’aide d’applications mobiles, c’est ce que l’on appelle la santé mobile. Surtout utilisé dans les maladies somatiques comme le diabète ou l’hypertension, ce type d’applications commence à faire son apparition en psychiatrie.
Former les malades chroniques pour les aider à mieux gérer leurs difficultés quotidiennes : telle est l’éducation thérapeutique. Les patients deviennent des acteurs à part entière de leur prise en charge, capables de trouver seuls des solutions… à condition d’être bien conseillés.
La remédiation cognitive vise à restaurer des fonctions cognitives altérées. Depuis quelques années, de plus en plus de nouveaux programmes sont expérimentés en France, essentiellement pour la schizophrénie.
Créés en 2005, les groupes d’entraide mutuelle (GEM) ont le vent en poupe. On dénombre aujourd’hui plus de 370 de ces lieux où des personnes en souffrance psychique peuvent librement venir rencontrer d’autres personnes et se ressourcer.
Toujours plus de troubles psychiques en cas de guerre, d’épidémies, de catastrophes naturelles… Si les moyens restent faibles pour les soulager, l’aide s’est organisée. Le point sur des solutions et leurs évolutions.
Comment l’art peut-il nous aider à vivre, voire nous transformer, en tant que spectateur d’une œuvre, en tant qu’artiste, ou encore dans le cadre d’une psychothérapie ?
Il s’agit d’un processus qui vise à renforcer l’autonomie des personnes en souffrance psychique. Depuis quelques années, les actions mises en place pour le favoriser se multiplient.
Vous vous sentez mal. Vous prenez le taureau par les cornes en consultant un psy. Ça ne va pas mieux. Est-ce toujours la faute du professionnel ?
Comment sait-on qu’une thérapie porte ses fruits ? Suffit-il d’aller mieux pour tourner la page ? Attention à ne pas crier victoire trop tôt…
Plébiscitée par le grand public, la résilience donne pourtant lieu à de nombreux débats théoriques, alimentant même de vives controverses entre praticiens.
Il n’est pas rare que le travail entrepris par un patient se répercute sur ses proches. En pleine mutation, il tend malgré lui à faire vaciller l’harmonie de sa sphère relationnelle.
Se dévouer aux autres semble un excellent moyen de se reconstruire après une maladie ou tout autre traumatisme. Cette démarche est-elle vraiment désintéressée ?
L’expérience, très controversée, a été menée en France : d’anciens patients en psychiatrie sont devenus des « médiateurs de santé-pairs » au sein d’équipes soignantes. Avec quels résultats ?
Les « psys » aussi peuvent rencontrer des troubles psychiques. Une expérience parfois à l’origine de leur orientation professionnelle. Certains ont accepté de se raconter…
Y a-t-il des troubles psychiques dont on ne guérit pas ? Une psychothérapie est-elle censée tout soigner ? Quel intérêt trouve-t-on parfois à rester malade ?
Tomber malade est bien souvent une expérience qui nous confronte à l’absurdité. Paradoxalement, c’est aussi parfois l’occasion de donner un sens (nouveau ?) à son existence…
Pour le géographe et président de la revue Population & avenir, les demandeurs d'asile préfèrent se réfugier en Allemagne et en Angleterre plutôt qu'en France, où on leur interdit de travailler.
La sociologue Micheline Labelle revient sur les débats autour du port du niqab au Québec. La complexité des clivages sur cette question fait alors apparaître «minorité» et «majorité» comme des catégories réductrices.
Décrite à tort comme une conséquence de la laïcité, l’interdiction du voile intégral n’a pu être adoptée en France qu’au prix d’un raisonnement pour le moins inédit.
Face aux destructions au Moyen-Orient, la riposte s’organise. Des scientifiques ont lancé un ambitieux programme, dont le but ultime est la réplique des sites détruits grâce à la technologie de l’impression 3D.