Le classement mondial des pays les plus heureux de l’Onu, fondé sur les valeurs de réalisation de soi, fait honneur aux pays nordiques. Mais une lecture alternative, plus centrée sur les affects, consacre d’autres régions du globe.
3686 articles publiés depuis 1999 pour la discipline « Sociologie »
Le classement mondial des pays les plus heureux de l’Onu, fondé sur les valeurs de réalisation de soi, fait honneur aux pays nordiques. Mais une lecture alternative, plus centrée sur les affects, consacre d’autres régions du globe.
Comment expliquer la violence des manifestations en France ? Le sociologue Sebastian Roché et le documentariste François Rabaté s’emparent de cette question à travers une histoire comparée de la gestion des foules.
Tout le monde peut se dire coach, y compris des amateurs insuffisamment formés, voire des adeptes d’occultisme et de parapsychologie. Les organisations professionnelles s’efforcent de mieux encadrer le métier.
Selon la sociologue Scarlett Salman, le succès du coaching professionnel témoigne d’une psychologisation du management et d’un « tournant personnel » du capitalisme. Et sa pratique relève parfois du palliatif.
En moins d’une décennie, les sciences humaines ont su s’imposer dans le monde de la bande dessinée et profiter d’un secteur en plein essor. Si le 9e art permet de toucher un plus large public, il offre aussi l’opportunité d’interroger ces disciplines et de renouveler leur écriture.
Les recommandations et conseils des internautes, stars des réseaux sociaux, s’apparentent à une nouvelle forme de coaching.
Au tournant des 18e et 19e siècles, le coaching émerge sur fond de synthèse entre le protestantisme et la psychologie d’une part, le perfectionnisme et le libéralisme d’autre part.
PDG de petites ou grandes entreprises, fondateurs de start-up, les dirigeants sont nombreux à faire appel à des coachs. Quelles problématiques les y mènent ? Les coachs peuvent-ils les influencer ?
Sous l’œil des romanciers, les vies inquiètes des « ni riches ni pauvres » éclairent les transformations de la société française. Au grand rêve de prospérité des années 1960 s’est substituée la peur de la précarisation.
Longtemps sous-représentée, la diversité ethnoculturelle se fait une place dans la littérature française, estime Alain Mabanckou, écrivain majeur de la littérature francophone.
Depuis les années 1980, la littérature française ausculte la famille de l’intérieur. En marge du roman et de l’autobiographie, l’autofiction et le récit de filiation explorent ses violences et ses tensions, les transmissions imparfaites et les ruptures sociales.