Pourquoi agit-on ? En s'interrogeant sur l’intention, elle a ouvert un nouveau domaine de réflexion.
Pourquoi agit-on ? En s'interrogeant sur l’intention, elle a ouvert un nouveau domaine de réflexion.
Pour les chercheurs en neurosciences, la musique joue sur les trois sphères de notre organisation psychique : cognition, émotion, action.
Au début des années 1970 naît le Mouvement de libération des femmes (MLF). Non mixte, refusant toute organisation et hiérarchie, il promeut un féminisme festif, drôle et volontairement provocateur.
Le courant critique inspiré du célèbre sociologue domine aujourd’hui, mais cette approche coexiste avec d’autres. Cet éclectisme suscite des controverses.
Bouger, expérimenter, coopérer, twitter… Il existe de nombreuses manières de construire ses apprentissages. Encouragées par les avancées de la psychologie cognitive, les méthodes actives prennent une place croissante dans l’enseignement et la formation.
Partant du constat que le simple fait de baptiser accomplit ce qui est dit, John L. Austin ouvre la voie à une théorie générale du langage où tout énoncé est, à divers degrés, une action.
Comment vivre bien, si l’on ne parvient pas à mettre ses actes en conformité avec ses intentions et préférences ?
Si, pour Sartre, nous devons nous engager dans la vie, ce n’est pas d’abord au nom de principes éthiques ou politiques, mais parce que nous sommes d’ores et déjà « embarqués ».
De bien belles expériences prétendent montrer que notre libre arbitre n’est qu’une illusion. Mais notre sens commun ne l’entend pas de cette oreille, et a de bonnes raisons pour cela.
Après la notion de risque, c’est désormais celle de vulnérabilité qui déferle dans le discours politique et social. Changement de paradigme ?
« Deviens ce que tu es », « carpe diem », « connais-toi toi-même », « accepte ce que tu ne peux changer et change ce qui peut l’être »… Loin de converger vers un modèle unique d’existence, ces préceptes peuvent parler à tous, et chacun peut en retirer un message. C’est l’une des raisons de leur succès universel. Petit tour d’horizon en dix leçons.
Le sociologue est mort dans la nuit du vendredi 9 juin. Sa pensée, complexe mais cohérente, est guidée par un fil rouge : le sujet comme porteur de la transformation du monde social. Car nos sociétés, pour Alain Touraine, se produisent elles-mêmes.
Plus morcelées que jamais, les sciences sociales avaient abandonné le projet de révéler ce que la condition humaine a d’universel. Des sociologues tentent de remettre cette ambition au goût du jour.
Comment les organismes en général et l’humain en particulier se sont-ils adaptés à la complexité du monde ? En développant un répertoire de stratégies spécifiques à tous les niveaux du vivant.