Patrimoine biologique, matériel, culturel… Dans toutes les sociétés, la notion de transmission se décline au pluriel et comporte une forte charge symbolique.
Patrimoine biologique, matériel, culturel… Dans toutes les sociétés, la notion de transmission se décline au pluriel et comporte une forte charge symbolique.
Longtemps présenté comme une vertu, le mérite se retrouve aujourd’hui sous le feu des critiques. Mais comment se passer d’une valeur intrinsèquement liée aux démocraties modernes ?
La religion doit-elle être reléguée à la sphère privée ? L’éducation doit-elle être la même pour tous ? Ces débats se réclament souvent des Lumières. Mais les pensées du 18e siècle étaient diverses. Leurs multiples arguments aident à mettre notre présent en perspective.
On ne devient pas ouvrier, on naît ouvrier, écrit le sociologue Camille Peugny, en paraphrasant Simone de Beauvoir. Nos parcours de vie restent en effet largement déterminés par nos origines familiales.
La Commune de Paris a duré seulement 72 jours, et s’est finie dans un bain de sang. Elle continue pourtant à représenter un idéal pour beaucoup. Quentin Deluermoz, spécialiste du 19e siècle, revient pour nous sur ce paradoxe.
Quand les fruits du capital sont supérieurs à ceux du travail, le fossé entre riches et pauvres se creuse, constate l’économiste Thomas Piketty. Comment inverser la tendance ?
Véritable best-seller de la sociologie française, Les Héritiers, de Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron, mettait en lumière le poids des transmissions culturelles familiales dans la fabrique des inégalités scolaires. Cinquante après, ce diagnostic est-il toujours valable ?
Certains héritages, chargés d’une injonction parentale, contraignent leurs héritiers à une vie qu’ils n’ont pas choisie. D’autres à l’inverse n’ont aucun sens pour celui qui les reçoit. Comment hériter sans s’encombrer ?
L’entreprise familiale comporte de nombreux atouts : confiance, rareté des conflits, relative stabilité de l’emploi… Mais deux dangers la guettent : les aléas de l’héritage et la faiblesse en capital-risque.
Piano, accordéon, théâtre, danse, cinéma…On transmet beaucoup plus qu’auparavant ses passions culturelles à ses enfants. Pourquoi ?